jeudi 18 août 2016

Negura Bunget - ZI


NEGURĂ BUNGET sortira son huitième album, intitulé ZI, le 30 septembre via Prophecy Productions.


Le nom de l’album peut aussi bien être traduit par « jour » que « dit ». Il s’agit de la deuxième partie de la trilogie transylvanienne qui a démarré avec l’album Tău (2015) et dont la dernière partie est prévue pour début 2018. En particulier, avec ZI, le groupe inspecte le coeur des traditions et rituels (cérémonies funéraires, le labour de la terre, l’évolution d’un homme, etc.) les plus importants en lien avec la communauté transylvanienne.
L’album a été enregistré au studio Negura MUSIC entre janvier et juin 2016, a été produit et mixé par le groupe et Mihai ‘Mtz’ Neagoe, et a été masterisé par Alin Luculescu.

Il sera disponible dans les éditions spéciales suivantes :
– CD digipack avec un artwork différent.
– En vinyle 180g blanc, avec un mastering spécial vinyle, un poster, couvertures intérieures imprimées et une couverture de protection (500 exemplaires).
– Artbook 2CD + DVD 28×28 cm, avec 72 pages, comprenant des visuels supplémentaires, textes, traductions anglaises des paroles, un CD bonus et un DVD bonus (1000 exemplaires).

Tracklist :
01. Tul-ni-că-rînd (Horn-ing)
02. Grădina Stelelor (Garden Of Stars)
03. Brazdă Dă foc (Furrow Of Fire)
04. Baciul Moșneag (The Old Shepherd)
05. Stanciu Gruiul (Stanciu Gruiul)
06. Marea Cea Mare (The Vast Sea)

Disque bonus (édition artbook) :
01. Tul-ni-că-rînd (re-mixée par Daniel Dorobanțu)
02. Brazdă dă foc (re-mixée par Silent Strike)
03. Schimnicește (re-mixée par Tibor Kati & Ionuț Cârja)
04. Baciu moșneag (re-mixée par Adrian “Oq” Neagoe & Tragacanth)

DVD bonus (édition artbook) :
1. ZI – un film sur l’album
2. Tul-ni-că-rînd – visuel
3. Stanciu Gruiul – visuel

Voici le clip vidéo de la chanson « Tul-ni-că-rînd », réalisé par Daniel Dorobantu, que le leader Negru décrit comme suit : « ‘Tul-ni-că-rînd’ est une chanson qui parle d’envoyer un message, un message entre les lieux, entre les mondes, entre différents états de conscience. Tout commence avec un instrument roumain traditionnel dénommé tulnic, qui est toujours utilisé dans les communautés traditionnelles comme un outil de signalisation, mais aussi très souvent dans des cérémonies funéraires. En se basant sur cette tradition, et globalement sur les cérémonies funéraires locales, où il y a un lien complexe entre le monde des vivants et celui des morts, avec des actions qui se reflètent entre les mondes, nous avons développé la chanson comme un genre de langage entre les dimensions naturelles et spirituelles, entre cérémonies, rituels et le silence. La plupart de nos chansons peuvent difficilement être expliquées, et celle-ci ne fait pas exception. Même si elle débute à partir d’éléments concrets, elle s’enfonce plus loin dans l’inconnu et le mystère, où la mort n’est pas la fin, mais tout juste une transition vers une autre dimension. »

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