C'est la rentrée des crasses et Paradise Lost est au programme. Sorti le 1er septembre chez Nuclear Blast (qui signe tout le monde), Medusa est le direct petit frère du précédent et excellent The Plague Within, paru en 2015. Un album retour aux sources, loin du dark ambient mais trempant dans les racines du doom à tendance death. Le passage au chant de Bloodbath aura fait le plus grand bien à Nick Holmes qui bascule dans le growl le plus viscéral avec bonheur. Pas de panique, les ambiances funèbres sont tout de même au rendez-vous et l'on a le droit à une belle poignée d'odes mélancoliques. Paradise Lost frappe fort et juste avec des titres accrocheurs (Blood & Chaos) qui devraient faire mouche sur scène (Hellfest 2018???). Orgue, basse doom, guitare "coulante" propre au son du combo du Yorkshire, l'opus 2017 est un grand cru. Paradise Lost sera chez nous cet automne (c'est mieux) pour trois dates dont un Trabendo.
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